11 mars 2014

Quelle alimentation mettre dans son maillot cycliste vintage ?

Pour une sortie d'au moins 45 kilomètres, sur mon vélo ancien, je place dans ma poche de maillot des barres de céréales et des fruits secs, enveloppés dans un sachet en plastique. La quantité varie selon la longueur et la difficulté du parcours. Les abricots ne collent pas aux doigts, contrairement aux figues et aux dattes ; avec elles le ruban de cintre devient poisseux. Je prends aussi parfois un tube de gel, utile en fin de séance. Un aliment actuel, certes, mais efficace.
Le contenu de la musette Spar,
au ravitaillement d'étape.

Il y a trente ans, je plaçais dans mon sachet en plastique de la pâte d'amande ou des morceaux de sucre. Mon père appréciait les pépites de sucre "Candy", qu'il plaçait sous sa langue pour une ingestion lente.

Éviter la fringale
Au bout de 45 minutes, je m'alimente régulièrement toutes les 30 minutes environ. Trop bête de subir une fringale. Lorsqu'un morceau de barre ou un fruit tombe sur la chaussée, quel agacement. Mais tant pis, je nourris les corneilles.

Eddy Merckx s'alimente au sein du peloton.
Dans la musette : du blanc
de poulet et une tartelette.
Un conseil : avec tout le sucre rapide qu'on ingère sur le vélo, pensons à bien nous laver les dents, notamment après la sortie. Une carie, cela vous coupe les pattes.


Tour de France 1969 (source : Miroir du cyclisme).